Alex Izenberg : Nouveau single “Our Love Remains” + nouvel album

C’est aujourd’hui que sort I’m Not Here, le nouvel album d’Alex Izenberg. Telle une collection de chansons d’amour captivantes, de tendres chagrins d’amour, de désespoir et de confusion, I’m Not Here met Alex à nu, et offre un aperçu de l’esprit de l’un des auteurs-compositeurs les plus énigmatiques de Los Angeles.
 
Pour marquer la sortie de l’album, Alex partage une vidéo d’animation en technicolor pour la chanson “Our Love Remains”, la pièce maîtresse de l’album. Pour donner vie à cette chanson, Alex s’est entouré de Dave Longstreth (Dirty Projectors) qui a composé et arrangé cordes et bois pour plusieurs titres de l’album.

 

Alex à propos de “Our Love Remains” : “Cette chanson était une façon de faire briller une lumière dans l’obscurité de la vie du 21ème siècle.”
 
 
 
Regardez les clips des singles “Ivory,” “Sorrows Blue Tapestry” et “Egyptian Cadillac.”
 
À l’instar de son premier album Harlequin (2016), et de son ambitieux successeur Caravan Château en (2020), ce nouvel album s’inscrit dans la lignée des artistes des années 70 préférés d’Alex Izenberg tels que John Lennon, Harry Nilsson, Randy Newman et Lou Reed. I’m Not Here a été enregistré aux Tropico Studios, produit par Izenberg et Greg Hartunian, et masterisé par Dave Cooley à Elysian Masters à Los Angeles. Les arrangements de cordes et de bois réalisés par son collaborateur Dave Longstreth de Dirty Projectors rappellent le style caractéristique de ceux de de Van Dyke Parks. 
 
S’inspirant de l’écrivain et théologien Alan Watts, qui a écrit et parlé de la vie comme d’un drame dans lequel nous mettons et enlevons des masques en fonction des moments, les nouvelles chansons d’Izenberg ouvrent des voies vers une conscience universelle tout en conservant un sens du jeu. Passant d’un mode à l’autre, les chansons d’Izenberg rappellent l’une des célèbres citations de Watts : “Tu n’es pas obligé d’être la même personne qu’il y a cinq minutes”. La pochette de l’album présente ainsi l’image austère d’un masque, un clin d’œil au sens malléable de l’identité qu’Izenberg explore dans l’album. “Par-dessus tout, ma plus grande inspiration en écrivant ce disque a été l’idée du joker, celui qui peut être n’importe quelle carte du jeu”, explique Izenberg.  
 
Assumant son diagnostic de schizophrénie paranoïde, Alex Izenberg n’hésite pas à aborder des sujets complexes dans sa musique : chagrin d’amour, confusion et deuil. Le travail sur I’m Not Here a commencé après le décès de son chien et meilleur ami Larks, nommé d’après Larks’ Tongues in Aspic, l’album de King Crimson (1973), l’un des groupes préférés d’Izenberg. Le monde qui l’entourait s’effondrant et son fidèle compagnon disparu, Izenberg s’était replié sur lui-même et dans son imaginaire, cherchant à s’échapper et à s’apaiser.
 
I’m Not Here est disponible sur le Dom Mart en édition vinyle exclusive de couleur verte, en édition vinyle standard, en CD et en digital. Achetez votre copie : Dom Mart  | Digital .

 

 

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