Ariana Vafadari revient avec l’album Anahita

Ariana Vafadari revient le 19 juin 2020 avec l’album Anahita, à la frontière de la musique du monde, du jazz et du classique. Cet album d’une rare beauté témoigne du talent vocal et de la démarche philosophique d’Ariana Vafadari.
Formée au chant classique et diplômée du Conservatoire national de Paris, Ariana Vafadari a débuté sa carrière dans un répertoire exclusivement lyrique et se produit en tant que soliste en Europe, aux Etats-Unis, au Japon et au Brésil. Imprégnée dans son enfance par la poésie et la philosophie zoroastrienne transmise par son père, la mezzo-soprano crée des passerelles entre musique traditionnelle iranienne, marocaine, jazz et musique classique occidentale. Elle s’inspire des gathas, poèmes écrits par le philosophe Zarathoustra il y a plus de 3700 ans.
Avec Anahita, Ariana Vafadari prône un retour à la nature et nous entraine dans une musique poétique capable de provoquer un éveil spirituel. Découvrez un bouquet de mélopées et d’incantations aux parfums de l’Orient.
Pour regarder  la vidéo d’Anahita :
https://youtu.be/eo1zQBHZA8Y
La chanteuse franco-iranienne Ariana Vafadari a composé chaque morceau de l’album Anahita à partir des maqams ou gammes orientales. Il en découle une musique qui vibre en permanence entre ses fondements mystiques orientaux et son pendant lyrique occidental. Ariana Vafadari et ses musiciens poussent sans cesse les frontières musicales. Tout au long de l’album, Ariana Vafadari est accompagnée de Julien Carton au piano et aux arrangements, de Driss El Maloumi à l’ud, de Leïla Soldevila à la basse, et d’Habib Meftah Boushehri aux percussions.
Totalement en lien avec leurs origines culturelles et musicales, les musiciens ont été formés par la musique traditionnelle iranienne, ottomane, marocaine, par le jazz, la musique classique occidentale ou l’opéra, dans leurs improvisations et la pratique de leurs instruments, ils passent librement d’un univers à l’autre.
Anahita, s’inspire de l’histoire de la déesse iranienne des eaux, de la fécondité, des peuples et des vivants. Ce conte onirique met en scène une jeune femme qui, anéantie face à son paysage devenu stérile, prie la déesse dont elle porte le nom de redonner vie à son monde. Son échange mystique avec la déesse la pousse à se lancer à la recherche de l’eau d’Immortalité, puis à finalement trouver l’Amour.
Produite par Ariana Vafadari et Vincent Joinville, cette création musicale présente des morceaux et tableaux chantés en persan et français a été jouée en mars dernier au Musée du Quai Branly avec la participation de Fanny Ardant en récitante. Un véritable enchantement sonore, aussi apaisant que puissant. Un disque inoubliable.
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