Vaiteani est de retour avec Homai

Vaiteani, le duo pop folk de Tahiti est de retour avec Homai, le 1er single de leur nouvel album : une basse hypnotique, du rythme et un clip où la danse est le seul mot d’ordre.
Deux ans après avoir révélé leur folk polynésien chanté en anglais et en tahitien sur un premier album couronné de succès, le couple revient avec l’album Signs, annoncé pour novembre prochain.
Inclassable, la musique de Vaiteani se découvre comme un archipel enchanteur. La voix ensorcelante de Vaiteani nous entraine dans un ailleurs spirituel et profond. Réalisé par David Grumel (The Pirouettes, Neeskens), l’album Signs convainc par sa grâce voyageuse et ses sonorités acoustiques où le folk et la pop voguent d’Océanie en Afrique et en Jamaïque.
Premier extrait, Homai nous surprend avec sa vibration afrobeat revue à la tahitienne. Un moment enchanteur que l’on pourra prolonger avec la sortie de l’album.
Pour découvrir le clip Homai :
https://youtu.be/mCH0XI-WUbQ
Ecouter les Vaiteani c’est comme voir de la neige tomber sur un lagon. C’est inattendu et c’est beau. Avec leur premier album sorti en 2017, ils nous ont conviés dans leur monde : des chansons folk en tahitien et en anglais, loin de tout cliché.
Un timbre de voix et des mélodies dont il est impossible de douter de la sincérité. Des textes forts mis en valeur par des arrangements qui rappellent la dentelle des élégantes robes que porte la chanteuse lors de ses concerts.
Aujourd’hui, les Vaiteani évoluent et font glisser leur «folk polynésien» originel sur les sentiers de la pop fluorescente et de l’électro fine. Une transposition accomplie avec beaucoup de grâce qui demeure fidèle à l’adn du duo.
Toujours l’anglais parfait et le tahitien ancestral pour parler. Un deuxième album ambitieux qui marque, plus que jamais, la fusion de deux identités. Le couple considère les chansons de ce deuxième opus comme les îles d’un archipel. Elles font partie d’un tout mais ont chacune leurs propres singularités, leur propre histoire…
Difficile de mettre une étiquette sur la musique de ces deux-là. Ce qui est sûr c’est que le lien se fait, tressé comme les motifs que l’on retrouve sur les tatouages polynésiens et que le monde s’est approprié. Nul doute que les Vaiteani connaîtront le même succès.
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